jeudi 31 mars 2011
MUSIC RICHARD PRINCE - AMERICAN PRAYER - SOUNDTRACK - 2011
A Lovely, Lyrical, Lilting name - Lolita : Original Motion Picture Soundtrack - 1962
Good Morning Little Schoolgirl - Sonny Boy Williamson I - 1937
Candy - The Byrds - 1968
Open the door Richard ! - Jack McVea and his All-Stars - 1947
Bug Powder Dust (Kruder and Dorfmeister remix) - Bomb the Bass featuring Justin Warfield - 1998
San Fransisco Scene (The Beat Generation) - Reading by Jack Kerouac on the Beat Generation - 1960
Eulogy to Lenny Bruce - Nico - 1967
This Cold War With You - Floyd Tillman 1949
Thirteen Men - Ann-Magret - 1962
CIA Man - The Fugs - 1965
Mope_Itty Mope - The Boss-Tones 1959
The Monkey speaks his mind - Andre Williams - 2002
Artificial Energy - The Byrds - 1967
Just like Tom thumb's blues - Ramblin'Jack Elliot - 2007
Cherokee Boogie - Hank Williams - 1951
Dude Ranch Nurse - Sonic Youth - 2004
You're so vain - Howe Gelb and giant Sand - 1995
Mambo Italiano - Rosemary Clooney - 1954
Ooh Las Vegas - grams Parsons - 1974
Psycho Killer (LP version live) - Taking Heads - 1984
I Fought the Law - The clash - 1979
Sing Me back Home - Merle Haggard - 1968
Be Thankful For What's You've got - Massive attack - 1991
Magnificient Seven - Jon Rauhouse - 2005
Big Iron - Marty Robbins - 1959
Western Movies - The Olympics - 1958
Like Dylan in The Movies - Belle and Sebastian -1998
Ballad of Cable Hogue - Calexico - 2000
Night Nurse (Kruder and Dorfmeister Session) - Gregory Isaccs - 1997
H.Bomb - Lord Buckley - 1969
Motorcycle Mama - Neil Young - 1978
I Am a Lonesome Hobo - Bob Dylan 1967
Tumbling Tumbleweeds - Michael Nesmith - 1971
Thanks Nath.
mercredi 30 mars 2011
VAUDOU - FONDATION CARTIER POUR L'ART CONTEMPORAIN - 5 AVRIL . 25 SEPT 2011 - PARIS
« POUR LES ARTS PRIMITIFS, ET NOTAMMENT POUR LE VAUDOU, IL Y A JACQUES KERCHACHE, ET IL N’Y A QUE LUI. » ANDRÉ MALRAUX
La Fondation Cartier pour l’art contemporain présentera pour la première fois au public un ensemble exceptionnel d’objets vaudou issus de la collection Anne et Jacques Kerchache dans une scénographie conçue par Enzo Mari, l’un des grands maîtres du design industriel italien. L’exposition est organisée avec la complicité d’Anne Kerchache – aujourd’hui Madame Kamal Douaoui – qui fut l’épouse de Jacques Kerchache jusqu’à son décès en 2001.
Jacques Kerchache et la Fondation Cartier pour l’art contemporain
Conseiller artistique et commissaire d’expositions, Jacques Kerchache était un ardent défenseur des arts premiers et a œuvré pour leur entrée dans les collections d’importants musées français. C’est à son initiative qu’ont été créés le Pavillon des Sessions du Louvre en 2001 et le musée du quai Branly en 2006. Jacques Kerchache a également collaboré avec la Fondation Cartier à de nombreuses occasions, tout d’abord sur les expositions thématiques À visage découvert (1992) et être nature (1998), mais aussi sur l’exposition personnelle de l’artiste haïtien Patrick Vilaire, Réflexion sur la mort (1997).
L’exposition vaudou
À la suite de ces collaborations, Jacques Kerchache et la Fondation Cartier ont souhaité organiser une exposition dédiée à la statuaire vaudou, mais ce projet a été suspendu suite à son décès en 2001. C’est donc à l’occasion du dixième anniversaire de la mort de Jacques Kerchache que la Fondation Cartier a décidé de dévoiler le monde secret et fascinant du vaudou qui fut sa passion tout au long de sa vie. À travers l’exposition Vaudou, la Fondation Cartier rend ainsi hommage à ce grand expert et explorateur, célèbre pour son œil exigeant et pour sa connaissance des arts premiers comme de l’art contemporain.
L’art vaudou
Dès les années 1960, Jacques Kerchache a su reconnaître la puissance esthétique et l’originalité stupéfiante de la statuaire vaudou et de ses formes. C’est à cette époque, lors de ses premiers voyages dans l’actuelle République du Bénin, berceau du vaudou, qu’il commence à rassembler ce qui est devenu aujourd’hui la plus importante collection de sculptures vaudou africaines. L’exposition présentera une centaine de ces objets, dont certains appartiennent désormais à des collections privées.
Des objets de culte
Les sculptures vaudou, assemblages anthropomorphiques de cordes, d’os, de coquillages ou de terre cuite, jouent un rôle primordial dans la pratique de ce culte religieux très ancien et toujours vivant, des côtes du Togo à l’ouest du Nigéria. Recouvertes d’une épaisse couche de matière faite de terre, d’huile de palme et de poudre, ces sculptures étranges et troublantes dégagent un sentiment de tension et d’appréhension. Leur esthétique ambiguë est intimement liée à leur rôle qui est à la fois de protéger leurs propriétaires du danger et de nuire aux personnes responsables de leurs problèmes.
Par sa silencieuse simplicité, l’exposition, propice à la méditation, laissera ces objets impénétrables prendre la parole et révéler ainsi le mystère et la beauté convulsive de la statuaire vaudou.
DIARY LYLYBYE - BALLET - 2011
Orpheus and Eurydice by George Frederick Watts
Kate Moss photographed by Mert Alas & Marcus Piggott Vogue Japan May 2011
The International Style of the hall at the Met Opera designed by Wallace Kirkman Harrison
Kate Moss photographed by Mert Alas & Marcus Piggott Vogue Japan May 2011
The International Style of the hall at the Met Opera designed by Wallace Kirkman Harrison
RICHARD PRINCE - DE KOONING - GAGOSIAN GALLERY - MARCH 30-MAY 21 - PARIS - 2011
it was time to pay homage to an artist I really like. Some people worship at the altar - I believe in de Kooning.
Richard Prince
Gagosian Gallery is pleased to present “Richard Prince: de Kooning” an exhibition of paintings and works on paper. This coincides with “Richard Prince: American Prayer" at the Bibliothèque nationale de France, an exhibition of American literature, ephemera and artworks from Prince’s personal collection.
Prince’s “de Kooning” series is a process of interaction with the canonic imagery of the Abstract Expressionist idol Willem de Kooning. The idea for these edgy Oedipal works came to him when he was leafing through a catalogue of de Kooning’s Women series. He started sketching over the paintings, sometimes drawing a man to de Kooning’s woman. As time went on, he began applying fragments of male and female torsos, genitalia, thighs, and facial features, cut and pasted from catalogues and vintage porn magazines, as well as drawing with graphite and oil crayon, adding outlines, silhouettes and textures to the original figures that further blur the distinction between de Kooning’s imagery and Prince’s own.
From these intensely worked drawings evolved a series of paintings that are, similarly, montages of elements from de Kooning's original paintings with figures cut from printed matter. The results are blown up onto large canvases via ink-jet printer, then the original material all but painted over. From the resulting abstract grounds, Prince then conjures up crude figures that recall de Kooning’s savage female subjects. The resulting hermaphroditic creatures are hybrids on several levels, merging male with female, painting with photography and print, and the refinement of modernist art with the vulgarities of mass cultural representation. Both homage and desecration, the de Kooning paintings exemplify Prince’s vision of a "Spiritual America," a historical consciousness fueled by a pervasive desire for rebellion and reinvention.
Mining images from mass media, advertising and entertainment since the late seventies, Prince has redefined the concepts of authorship, ownership, and aura. Applying his understanding of the complex transactions of representation to the making of art, he evolved a unique signature filled with echoes of other signatures yet that is unquestionably his own. An avid collector and perceptive chronicler of American subcultures and vernaculars and their role in the construction of American identity, he has probed the depths of racism, sexism, and psychosis in mainstream humor; and the mythical status of cowboys, bikers, customized cars, and celebrities. His most recent work is an explosive mix of pulp fiction, soft porn, and high art.
RICHARD PRINCE - AMERICAN PRAYER - BIBLIOTHEQUE NATIONAL DE FRANCE - BNF - PARIS - 2011
du 29 mars 2011 au 26 juin 2011
François-Mitterrand / Grande Galerie
Après Jan Fabre au Louvre et Jeff Koons à Versailles, la Bibliothèque nationale de France joue à son tour la carte contemporaine en accueillant dans ses murs Richard Prince. Artiste américain de réputation internationale, particulièrement célèbre pour ses photographies de cow-boys des campagnes publicitaires Marlboro ou pour sa série de toiles de « nurses », il est l’artiste qui raconte le mieux l’Amérique fin de siècle.
La Bibliothèque nationale de France accueille sa première exposition monographique à Paris et pour cet événement l’invite à s’approprier les collections historiques de la Bibliothèque, en champion de l’ « appropriation art » qu’il est.
L’exposition Richard Prince. American Prayer (en référence à la poésie de Jim Morrison) montrera un aspect inédit de l’artiste : un fervent bibliophile et collectionneur de la culture pop et des contre-cultures américaines des années 1950 à 1980, qui sont autant d’inspiration pour son oeuvre de photographe et de peintre. Sur fond de musique de Jimi Hendrix, de Jim Morrison, de Bob Dylan et du Velvet Underground, et avec la complicité du scénographe David Adjaye, Richard Prince nous fait voyager dans une Amérique qui se joue de ses mythes dans une succession de mises en scène beat, hippie et punk.
En dialogue avec une sélection de livres rares, de manuscrits de Rimbaud, Céline, Cocteau et Genet, de magazines underground européens, de livres populaires puisés dans les collections de la BnF, sur lesquels Richard Prince projette d’intervenir, l’artiste dévoile pour la première fois quelques-uns des trésors de sa bibliothèque personnelle : des documents des principales figures de la « beat generation », comme un exemplaire annoté par William Burroughs du Festin Nu ou le rouleau manuscrit de Big sur de Jack Kerouac, sa collection de « pulp fiction » autour du personnage érotique et troublant de l’infirmière, ou sa collection des éditions de Lolita de Nabokov en une vingtaine de langues. Tableaux, dessins, photographies, livres d’artistes, manuscrits et objets illustrent son univers personnel entre culture savante et culture populaire, entre Amérique et Europe, selon une démarche artistique originale. L’exposition se conclut par une salle de lecture tapissée de faux livres conçus par Richard Prince et de trésors bibliophiliques rarement montrés, sa bibliothèque idéale ?
Avec le soutien de Champagne Louis Roederer, Louis Vuitton, Banque Neuflize OBC, la galerie Gagosian et la participation de Dietl International et Domeau & Pérès.
En partenariat avec Le Monde, Les Inrockuptibles, Le Nouvel Observateur, Beaux Arts Magazine, France Inter et Paris Première.
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